Filtrer
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Prisme Editions
-
Gisele Buthod-Garçon ; la terre, simplement
Collectif
- Prisme Editions
- 12 Septembre 2018
- 9782930451251
Française, domiciliée en terre occitane, Gisèle Buthod-Garçon se découvre une passion pour la matière terre en 1979, à son retour du Sénégal. Ce qui l'attire, c'est cet aspect cru qu'a la terre, la vivacité brûlante qu'elle offre et son aspect charnel. Dès lors qu'elle adopte la céramique et se lance comme professionnelle, en 1982, elle n'a de cesse d'expérimenter sans relâche, d'apprendre et de résoudre avec une opiniâtreté sans égale. Son travail est tout entier conditionné par l'adoption d'un mode de cuisson spécifique, la cuisson raku. Email gras et raku semblaient à jamais dissonants, pourtant Gisèle Buthod-Garçon a établi sa notoriété sur ce paradoxe. Elle concilie l'âpreté des surfaces et l'harmonie formelle. Elle crée en écho aux paysages arides et blafards qui l'entourent. Son travail traduit l'immémoriale trace de la fragilité humaine et l'intemporalité des choses.
Stéphanie Le Follic-Hadida, commissaire de l'exposition consacrée à l'artiste à Keramis, réunit différents auteurs : Ludovic Recchia, Yves Mausen, Katherine Vanderhaeghe, Anthony Girardi, Virgile Loyer, Wang Dong et Jean-Paul Rivault, qui témoignent, chacun à leur façon, de leur expérience face à l'oeuvre de Gisèle Buthod-Garçon.
-
Né en 1965 à une centaine de kilomètres des anciennes manufactures impériales de porcelaine de Jingdezhen (Chine), Bai Ming est un artiste plasticien aux multiples facettes. Professeur, conférencier, il est directeur du département de céramique à l'Académie d'art et de design de l'université Qinghua à Beijing, et du Centre d'art international de la céramique contemporaine Shangyu Celadon. Il est aussi, et surtout, à la tête de deux ateliers, où il mêle avec audace les traditions techniques et les pratiques ancestrales à l'art contemporain international. Son travail sur la céramique, la peinture et la laque, tout en finesse, redynamise la porcelaine chinoise et la libère de ses formes archaïsantes. Ses créations sont couronnées par les plus grands prix chinois et reconnues par les collectionneurs du monde entier.
-
L'homme ne serait-il pas devenu le plus grand parasite qui soit ? Franck Sarfati investit les parcs de Bruxelles avec ses parasites bienveillants, des micro-sculptures en Porcelaine de Limoges - et interroge sur cette question insoluble.