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LAmourier
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Trois hommes pour cette expérience qui a vu bernard noël se prêter au jeu des questions de jean-luc bayard sous l'oeil de la caméra de denis lazerme.
Au final un livre d'entretien réalisé à partir de 15 heures de rushes revus par les auteurs auquel est joint le dvd du film. jean-luc bayard parle volontiers de voyage dans une vie de création, traversée du temps de la vie d'un homme qui fait resurgir aussi bien le passé que ce que l'on pourrait faire si l'on croyait à l'avenir. si l'on est bien en présence d'un homme c'est que l'homme y est au présent.
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Du crépuscule des corbeaux au crépuscule des colombes
Werner Lambersy
- L'Amourier
- Fonds Poesie
- 8 Janvier 2019
- 9782364180512
La poésie n'est pas étrangère à la vie - la poésie nous attend au coin de la rue. Elle peut nous sauter dessus n'importe quand, écrit Jorge Luis Borges. Phrase que Werner Lambersy a choisi de mettre en exergue de son livre pour soutenir son propos expliqué ainsi dans un récent entretien : «Un coup de vent a écarté le rideau de la conscience, de la connaissance et même de l'émotion pour laisser passer un rayon de soleil qui réchauffe la chambre (forte) de l'âme. C'est pourtant furtif, sans durée, et noter cet événement essentiel reste du seul pouvoir bien faible du miroir de l'écriture. Il se joue dans cet entre-deux improbable de l'éternité quelque chose qui n'est pas de moi, ni à moi, mais cependant moi tout entier. »
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Depuis vingt ans, elle a vingt ans d'avance. Avec Sarah Kalisky, le tragique est la mesure commune de notre déraison la plus exaltante et la figure la plus nue de notre impitoyable désir de vivre.
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L'auteur fait ici l'expérience d'une désaffection/interruption du langage, affrontant son impuissance à être lorsque les mots viennent à manquer, et que surgit, derrière le vide, l'attente..."Quand l'écrivain affronte son effondrement, c'est l'écrivain qui se trouve interrompu". Une suite en cinq parties : De la sueur des mots. Poème d'attente. Poème en désordre. L'émotion du temps. Le désir d'écrire.
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Livre de passion. Celle d'une jeune femme pour l'auteur, puis réciproquement. Passion tourmentée, et riche en interrogations sur la vie, et le sens des événements. En deux mots : que faire de ce qui nous advient, dans l'amour ?
Dans une brièveté et une justesse de ton, l'auteur propose une réflexion très percutante sur le désir et ses variations.
Érotisme, émotion, sensibilité et densité des images sont ici au service d'une mise en perspective spirituelle de la passion amoureuse.
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Les carpes vieillissent bien. On leur prête volontiers longévité, sérénité, silence, luxe, calme et volupté..
Écrire sur des écailles de carpe est un exercice de concision, d'humilité et de jubilation rêveuse.
C'est retrouver la grammaire des origines, en essayant de lire le premier livre des miroirs.
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La vie passe comme une pièce de théâtre dont nous sommes à la fois les acteurs et le public. Les rituels (sacrilèges) en exposent la mise en scène et les didascalies textuelles. Ils proposent de jouer, d'enjouer, et de se laisser mettre en joue comme en joie.
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On raconte que pour voir la région, il suffisait de monter sur une valise. Jetée au début du livre, cette phrase, belle et énigmatique, ouvre sur le désastre d'une ville, d'un port aux eaux froides et noires, celles de la mort et de la débâcle.
Dans une prose âpre, rude et meurtrie, mais non dénuée d'humour, le poète Werner Lambersy, mêlant ici le conte, la chronique et la nouvelle, traque les dérives, pointe les failles et dénonce les pesanteurs religieuses et sociales. Il prend le temps de nous dire aussi que les ginkgos, la pluie, la lumière du matin, les menhirs et les vieux chevaux sont encore là pour remuer les eaux secrètes du sublime.
Abdelkader Djemaï (extrait de la préface)
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Un étudiant au coeur tendre, obsessionnellement épris d'une belle inaccessible.
Un scribe obscur, exilé aux confins de l'empire des T'ang et du désert de Gobi.
Un poète à mille lieues de son époque, mort à vingt-cinq ans pour s'être rêvé Mongol. Le héros mythique d'un piètre roman pour jeunes filles.
Qui fut vraiment Hou Dang Yeoe Que nous est-il aujourd'hui ?
Ses poèmes, sans doute, recueillis çà et là avec passion par l'auteur, détiennent seuls la clef de l'énigme.
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Ici, nos mots sont devenus poreux : ils laissent remonter la force des choses. Ici, les mots se laissent illuminer par le monde. Ici ce qui nous surprend nous suspend: la chair du monde, quand elle palpite.
Jacques Ferlay a su faire sien le haïkaï, ce genre poétique bref et intense, qui cherche à tout juste saisir l'ondoiement fuyant du monde.
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Les carpes vieillissent bien.
On leur prête volontiers longévité, sérénité, silence, "luxe, calme et volupté". On s'en nourrit les veux, le ventre et quelque chose qui nous échappe qu'on appelle parfois le poème. Elles fréquentent des eaux douces, mais profondes. des mystères liquides et lumineux. Elles affectionnent les figures de ballets et affectent d'égrener des bulles. Ecrire sur des écailles de carpe est un exercice de concision, d'humilité et de jubilation rêveuse.
C'est retrouver la grammaire des origines, en essayant de lire le premier livre des miroirs.
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Les gestes de la neige
Béatrice Bonhomme, Salah Stétié
- L'Amourier
- Grammages
- 5 Mars 1998
- 9782911718151
Il y a les chemins de la neige et il y a les chemins de la mer. [...] Mais le plus pur du geste est encore celui qui nous fait marcher vers la mer, vers l'amour,
peut-être même vers la mort par disparition et solubilité nocturne. Alors Béatrice rejoint dans la simplicité des mots les plus nus l'image et le corps de Béatrice : elle est enfin dans la nudité essentielle qui est le signe à venir de la neige, et aussi à portée de main, le rien, le beau rien de l'écume.
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Carnet sensible plus que récit de voyage, ce livre emmène le lecteur au coeur des Flandres, mais aussi dans l'intime façon - « Une manière de joie » - qu'a l'auteur d'habiter un lieu.
Par ses fréquents séjours dans les Flandres, Jean-Pierre Spilmont a promené son regard et ses émotions de Damme à Menin, d'Ostende à Gand, de Bruges à Courtrai. Il a vu, rencontré, et aimé. Une saison flamande est une déambulation dans l'Histoire : celle des frères Van Eyck, de Thyl Ulenspiegel, celle du retable de Gand L'Agneau mystique, celle des Béguines. Ce livre est aussi un rendez-vous avec la lumière d'Ostende, avec le vent des polders, les feuilles jaunies de quelques peupliers sur l'eau tranquille d'un canal et l'insolite parfum de mer.
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Pour dire au plus juste, le monde ne m'est jamais apparu. Je m'y suis senti plongé et immergé ; j'en ai été aveuglé. J'ai essayé, comme à tâtons de m'en faire des images, d'en comprendre les représentations, d'une certaine façon, peut-être, d'y apparaître.
La forme prise par ces tâtonnements, les richesses qu'un peu au hasard j'ai volées au monde, ce sont ces bribes, justement.
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Un architecte donne au narrateur des indications sur le mode de construction des prisons.
Précis d'architecture poétique, lieu d'imbrication et d'emboîtement, cet ouvrage, outil d'édification du principe d'incarcération, invite à creuser, partant du centre ou de la périphérie, un monde qui tournoie de contraintes et de privations. Toutes ont un sens donné par l'intention.
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Un ghazâl, du Maroc jusqu'en Inde, est un chant, un poème à chanter ou un air de chanson sauf à Distân, où les ghazâls sont des poèmes tissés.
Encore fallut-il qu'un marchand de tapis inspiré, Bur eddîn al-Çekery (1854-1908) de Nayshapûr, découvre ces livres-tapis, en déchiffre le code et traduise en persan les Ghazâls des Hu,témoignage d'une tribu nomade de l'Hindukush, aujourd'hui disparue.
D'où venaient les nomades ? C'est leur secret. Où sont-ils partis ? C'est leur mystère.
Que cherchaient-ils ? Ce que tout homme espère : la vie, les uns ici, dans l'attente immobile, ce sont les sédentaires ; les autres ailleurs, dans l'errance éternelle, ce sont les hommes de l'horizon, les marcheurs sous le ciel, les piétons de l'au-delà.
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Echangerais nuits blanches contre soleil meme timide
Werner Lambersy
- L'Amourier
- 1 Avril 2004
- 9782915120035
Les nuits sont longues, surtout celle qui se prépare quand on atteint l'âge qu'on dit grand, pour ne pas dire qu'au contraire on s'y rétrécit, rabougrit,
ratatine et radote parfois. On en vient alors à apprécier particulièrement le timide soleil qui réchauffe les os, réveille la cervelle, renvoie le sang au feu des
passions et le souffle à l'ardeur de son verbe.
Werner Lambersy s'est donc amusé ici de sa fausse sagesse et de sa feinte lucidité. Il en reste, comme dans un miroir, quelques éclats, quelques reflets et
réflexions qu'on pourra méditer à son aise et à plaisir le reste du temps.