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Parigramme
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La promenade architecturale est un des grands plaisirs parisiens. Les immeubles remarquables ne manquent pas. Il suffit de lever les yeux pour s'émerveiller devant des cariatides songeuses et des mascarons rieurs, le savant paraphe des balcons de fer forgé, le modelé des chapiteaux et des frises, ou le tricot plus populaire de briques multicolores.
Classée dans l'ordre chronologique, cette anthologie esquisse, à la paresseuse, une histoire des façades parisiennes, du pavillon d'Henri IV, premier immeuble-monument, à nos jours. Mais au fil du temps se détachent les trente années glorieuses de la façade de l'immeuble parisien, de 1882, date du règlement qui libère les saillies sur la rue, à 1914, qui met fin à cette Belle Époque. -
Demeure le souvenir d'un âge d'or où l'on pouvait voir Picasso, Braque, Soutine, Zadkine, Cendrars, Léger, Cocteau, Matisse, Foujita... s'attabler dans la cantine de Marie Vassilieff, le patron du Dôme présenter Kiki à Kisling, Breton, Desnos et les surréalistes mettre à sac la Closerie des Lilas, Hemingway boxer au Falstaff, Modigliani et Utrillo s'empoigner Chez Rosalie, Elsa entraîner Aragon à l'hôtel Istria... Ce vent de liberté fut celui d'une époque mais attisa surtout plusieurs révolutions artistiques dont les oeuvres ne cessent pas de nous émerveiller.
Rue par rue, de cités d'artistes en cafés historiques, ce guide nous entraîne dans les pas de ceux qui ont tissé la légende de Montparnasse et dont l'âme s'accroche encore à une foultitude d'adresses.
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Promenades dans les villages de Paris ; 16 itinéraires de charme dans les anciens faubourgs de la capitale
Dominique Lesbros
- PARIGRAMME
- 12 Février 2009
- 9782840965473
Avant l'annexion de 1860 qui les a rattachées à Paris, les communes de Charonne, Passy, Montmartre, Vaugirard et leurs voisines étaient indépendantes et possédaient leur identité propre. Chacune avait son église, sa mairie, sa rue principale, ses commerces, ses petites industries, son château parfois.
Au fil de seize promenades de charme, Dominique Lesbros fait revivre le quotidien de ces villages devenus des quartiers de Paris, nous entra»nant dans des ruelles étroites à la découverte de cours artisanales, de jardins de curé ou des dernières maisons de faubourg. Soudainement, la capitale prend des allures champêtres...
Les 16 itinéraires : La Villette, Belleville, Ménilmontant, Charonne, Bercy, Ivry, Gentilly, Petit-Montrouge, Vaugirard, Grenelle, Auteuil, Passy, Ternes, Batignolles, Montmartre et La Chapelle-Saint-Denis
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Quand les paroles s'oublient, il reste un air qui vous trotte dans la tête. Vous ne le connaissez que trop bien ; combien de fois ne l'avez-vous pas fredonné ?
Ainsi en va-t-il de la chanson de Paris, ses petites notes s'accrochent aux mille et un détails qui font que Paris est Paris et qu'on ne risque pas de la confondre avec une autre.
Embarquez, au travers de plus de 1 200 photos, à la redécouverte de l'esprit de Paris, de ses pavés, ses portes d'immeubles, ses entrées de métro, ses enseignes, ses taxis, ses bancs publics, ses cafés, ses croissants, ses camions de pompier, ses plaques de rue, ses cages d'escalier, ses boîtes aux lettres, ses pigeons....
Paris est là, reconnaissable et inimitable ! Comme si les plus infimes particules de la ville la contenaient tout entière... -
Le Paris de François Truffaut
Philippe Lombard
- PARIGRAMME
- Photos Petits Prix
- 24 Mai 2018
- 9782373950489
De l'appartement familial des Quatre Cents Coups au Gaumont-Palace aperçu dans Domicile conjugal et au théâtre Saint-Georges du Dernier Métro, François Truffaut a utilisé dans ses films de nombreux décors de son quartier d'enfance, entre Pigalle et la place de Clichy. Le réalisateur ne s'aventure qu'exceptionnellement sur la rive gauche, dont l'existence n'est guère attestée que par de lointaines apparitions de la tour Eiffel.
Si l'oeuvre de Truffaut est plus poétique que documentaire, elle offre cependant au spectateur d'aujourd'hui de contempler un Paris où les portes cochères ne sont pas encore condamnées par des digicodes, un Paris où le téléphone se trouve au café d'en bas, un Paris où le laitier dépose ses bouteilles à l'aube devant le rideau de fer des crèmeries... Un Paris dont le cinéma est le dernier refuge.
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L'ouvrier a fait Paris comme il en a écrit l'histoire : il l'a - au sens propre - bâtie mais en a aussi, entre Gavroche et Gabin, façonné «l'atmosphère». Être ouvrier, c'était aller vêtu différemment, parler différemment, aimer différemment...
Le parcours commence avec le "sublime", ce type ouvrier du second Empire, forte tête refusant la discipline de l'usine et prêt à en claquer la porte à chaque instant ; il s'achève avec les derniers camarades, membres d'une contre-société globale soudée par ses rites d'appartenance.
Il reste des heures glorieuses quelques lieux où l'Histoire s'est emballée, et une moisson d'adresses correspondant à autant de sièges de partis ou de syndicats, de journaux, de coopératives, de domiciles de militants, d'usines... ultimes témoins d'un monde englouti.
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Maisons closes parisiennes ; architectures immorales des années 1930
Paul Teyssier
- PARIGRAMME
- 30 Septembre 2010
- 9782840966043
Existe-t-il un programme architectural de la maison close parisienne ? Fermée sur le monde extérieur, la maison de l'entre-deux-guerres veut ouvrir sur de multiples horizons et soigne en conséquence sa distribution, ses agencements et ses décors. Fouillant les entrailles de « ces machines à plaisir », Paul Teyssier en décrit le cheminement labyrinthique, enchainant seuils, sas, couloirs, longues séquences de petits et de grands salons, d'escaliers et de chambres. À ce dispositif s'ajoute celui des coulisses, inaccessibles à la clientèle, prévoyant vestiaires, loges, chambres des pensionnaires, réfectoire, cabinet médical... Empruntant beaucoup à des structures plus conventionnelles (le couvent, le théâtre, la prison...), la maison close doit obéir à des prescriptions administratives et hygiénistes, multipliant les références historiques et intégrant les dispositifs de confort les plus modernes. Elle s'inscrit non seulement dans l'ordre du commerce de la consommation charnelle, mais plus largement dans la sphère des loisirs, partageant les innovations des dancings, du cinéma, des grands cafés dont elle est souvent la voisine. Cette « architecture inversée » se révèle dans les plans conservés aux archives de la Police que l'auteur a soigneusement étudiés. Ces documents traduisent la réalité du système construit du sexe avec ses codes, ses obligations règlementaires et ses répétitions formelles.
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Je me souviens du canal Saint-Martin
Marie Babey
- PARIGRAMME
- Je Me Souviens
- 18 Septembre 2003
- 9782840963448
Je me souviens des bateaux "montants", blancs du sel du Midi et des bateaux "avalants", noirs du charbon enlevé au pont de Flandre, je me souviens des "carapatas", les haleurs aux gros bras et au gosier sec, je me souviens des coltineurs qui déchargeaient les sacs de ciment au bassin du Combat, je me souviens qu'éclusiers et mariniers allaient souvent boire un verre à la Chope des Singes ou à l'Ancre de Marine, je me souviens que l'on pouvait traverser le canal sur les portes des écluses, je me souviens que les mariniers avaient rebaptisé la compagnie HPLM (Havre-Paris-Lyon-Marseille), "Hachez-Pillez-Les-Malheureux", je me souviens de la pêche aux écrevisses avec une épingle à nourrice... Je me souviens que l'on patinait sur la glace les hivers de grand froid, je me souviens que la sortie des artistes de l'Alhambra donnait sur le canal, je me souviens que les bateaux n'avaient pour guides que les bouches d'aération quand ils passaient sous la longue voûte du boulevard Richard-Lenoir, je me souviens qu'on faisait de drôles de récoltes quand on vidait les bassins, je me souviens des usines, des entrepôts, des cités d'artisans qui longeaient le canal, je me souviens que le décor du canal a été entièrement reconstitué pour les besoins du tournage du film de Marcel Carné, Hôtel du Nord, je me souviens du temps où on jouait à la manille, où on chantait et où on parlait politique dans les cafés, je me souviens... du canal Saint-Martin.
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Le cancan surgit au carnaval de Paris de 1825 comme une improvisation réservée aux hommes. Simple image de la gaîté parisienne ? Pas seulement.
Qu'une femme s'avise d'entrer dans la danse et voici la subversive arrêtée, puis traînée devant les tribunaux. Au bal Chicard, à la Closerie des Lilas, au bal Mabille, à l'Élysée-Montmartre ou au Moulin Rouge, les pas du cancan se moquent de l'armée, de l'Église et de la morale bourgeoise. Le cancan, ce n'est pas une danse, c'est un délit ! Battant la cadence de leurs gambettes gainées de noir, Rigolboche, la Goulue, Grille d'Égout, Nini Patte en l'Air et tant d'autres agitent leurs jupons comme le drapeau de leur émancipation.
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Paris ; promenades dans le centre historique
Pascal Varejka, Muriel Montini
- PARIGRAMME
- 6 Mai 2010
- 9782840966487
Ce guide de promenades est construit sur le même principe que les Promenades dans les villages de Paris, paru en 2009, à la différence qu'il ne s'intéresse pas aux faubourgs annexés à la capitale en 1860 mais au coeur même de la ville. Plus précisément, il s'agit du Paris contenu dans l'ancienne enceinte des Fermiers Généraux, marquant la limite de la capitale à la fin de l'Ancien Régime. Chacune des 18 promenades est repérée sur un plan et fait l'objet d'un reportage photographique original.
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Paris buissonnier ; le guide des promenades de charme hors des sentiers battus
Françoise Besse
- PARIGRAMME
- 25 Février 2010
- 9782840966579
Traverser Paris par des ruelles tranquilles, des jardins et des squares, en se jouant des artères encombrées et bruyantes... Impossible ? Tel est pourtant le programme de ces promenades buissonnières et piétonnes qui donnent à découvrir la ville sous un visage qu'on lui avait (presque) oublié. Chaque promenade, longue de 3 à 7 km, est figurée clairement, étape par étape, sur des plans aquarellés qui épargnent aux amateurs de balades citadines les difficultés de repérage, pour privilégier le bonheur simple de marcher dans Paris.
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Le guide du promeneur 12eme arrondissement
Chadych Danielle
- PARIGRAMME
- Le Guide Du Promeneur
- 3 Mars 1995
- 9782840960447
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un monument immédiatement identifiable, une rue familière, l'ambiance d'un café ou du métro disent l'essentiel au spectateur : nous sommes à paris.
ces décors peuvent bien être dispersés aux quatre coins de la capitale, peu importe ! la géographie du cinéma s'affranchit des contraintes pour réinventer une ville tissée de fantasmes et de souvenirs, de peurs et de désirs. pour autant, le paris du septième art n'est pas une cité fantôme : du muet aux studios, des productions hollywoodiennes à la nouvelle vague, de monsieur hulot à amélie poulain, le cinéma cultive les archétypes et entretient avec constance un petit peuple de chauffeurs de taxi bavards, de prostituées au grand coeur, de mauvais garçons gouailleurs, de bourgeois suffisants et d'inspecteurs de police au regard un peu las.
comment imaginer paris sans parisiens ? dans leurs emplois de prédilection, jean gabin, danielle darrieux, sacha guitry, arletty, michel simon, jean-paul belmondo, fabrice luchini ou même audrey hepburn leur ont donné un visage. et, plus encore, une âme. au fond d'une salle obscure, qui n'est prêt à croire, après garance et frédérick dans les enfants du paradis, que " paris est tout petit pour ceux qui s'aiment comme nous d'un aussi grand amour " ?.
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Êtes-vous d'humeur à jouer ? Rien de plus facile à Paris dont tes rues, les monuments, L'histoire et tes personnages fournissent obligeamment la matière d'une foule de questions. En voici plus de 400, pour s'amuser seul ou entre amis... et découvrir qu'on est loin de tout connaître de la capitale.