Baudelaire ; un demi-siècle de lectures des fleurs du mal

À propos

le 1er juin 1855, baudelaire fait paraître dix-huit poèmes dans la revue des deux mondes, sous le titre les fleurs du mal.
louis goudall, qui en rend compte dans le figaro, ne prévoit guère d'avenir à cette poésie " écoeurante " : " m. baudelaire, déchu de sa renommée de surprise, ne sera plus cité désormais que parmi les fruits secs de la poésie contemporaine ". prononçant une conférence sur baudelaire, à monaco le 19 février 1924, valéry commence par ces mots : " baudelaire est au comble de la gloire ". entre-temps, que s'est-il passé ? à quelques exceptions près - gautier, banville, leconte de
lisle, qui sont des poètes eux aussi -, les contemporains de baudelaire n'ont vu dans sa poésie que l'expression du " bizarre " : elle est le kamtchatka " du romantisme, où sainte-beuve la déporte.
dans les années 1860, une promesse apparaît pourtant : en exil à bruxelles en 1866, le poète parle à sa mère d'une " école baudelaire ".


Rayons : Littérature > Littérature argumentative > Essai littéraire


  • Auteur(s)

    André Guyaux

  • Éditeur

    Sorbonne Universite Presses

  • Distributeur

    Dilisco

  • Date de parution

    21/06/2007

  • Collection

    Memoire De La Critique

  • EAN

    9782840504962

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    1 144 Pages

  • Longueur

    20.7 cm

  • Largeur

    15 cm

  • Épaisseur

    5 cm

  • Poids

    1 280 g

  • Diffuseur

    AFPUD

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

André Guyaux

Professeur à l'université de Paris-Sorbonne et membre de l'Académie royale de langue et de littérature française de Belgique.

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