À propos

Ce livre est la première monographie de l'oeuvre totale de Vanfleteren. Depuis plus de quinze ans, Stephan Vanfleteren parcourt sa patrie en tous sens avec amour, sans toutefois se focaliser sur la photographie des grandes curiosités ni sur les moments clés de son histoire.
Les thèmes de ce livre illustrent les cafés populaires, les paysages, les courses de kermesse, la diminution du nombre des cafés et des épiceries, les poteaux électriques en béton inclinés, les épaves de voitures abandonnées çà et là, la misère et la solitude en Belgique. Beaucoup de ses photos sont devenues des icônes appartenant à la mémoire collective.


Rayons : Arts et spectacles > Arts de l'image > Photographie


  • Auteur(s)

    Stephan Vanfleteren, David Van Reybrouck

  • Éditeur

    Lannoo

  • Distributeur

    Dilisco

  • Date de parution

    01/08/2007

  • EAN

    9789020971217

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    204 Pages

  • Longueur

    30 cm

  • Largeur

    30 cm

  • Épaisseur

    0.3 cm

  • Poids

    1 810 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Relié  

Stephan Vanfleteren

  • Naissance : 1-1-1969
  • Age : 55 ans
  • Pays : Belgique

David Van Reybrouck

David Van Reybrouck est né à Bruges en 1971. Il a étudié l'archéologie et la philosophie aux universités de Louvain et de Cambridge et a un doctorat de l'université de Leyde. Il a été professeur invité à Barcelone et Paris et chercheur postdoctoral au sein du département d'histoire de l'université de Louvain. Il vit à Bruxelles. D'année en année, Van Reybrouck a sillonné l'Afrique. Il a d'ailleurs publié en mai 2010 Congo. Een geschiedenis (Une histoire du Congo), l'histoire captivante du pays le plus dévasté de l'Afrique. Loin de se contenter d'être observateur, Van Reybrouck s'est aussi investi dans l'organisation d'ateliers littéraires pour des auteurs de théâtre congolais à Kinshasa et Goma.
Son premier livre De plaag (2001, traduction Le Fléau, Actes Sud, 2008), qui tient à la fois du récit de voyage et du roman policier littéraire, plaçait déjà l'action dans l'Afrique du Sud post-apartheid. Co-éditorialiste de longue date pour le quotidien flamand De Morgen, Van Reybrouck a coédité un ouvrage sur le futur de la Belgique Waar België voor staat (Les défis de la Belgique, 2007) et un pamphlet, Pleidooi voor populisme (Un plaidoyer pour le populisme, 2008), qui a suscité quelque polémique. Ses essais et reportages ont été publiés dans différents journaux et revues : De Morgen, Knack, NRC-Handelsblad, de Volkskrant, de Groene Amsterdammer et Vrij Nederland.
David Van Reybrouck poursuit aussi une carrière d'écrivain de théâtre. ). Il a publié en janvier 2011 Mission suivi de L'Âme des termites chez Actes Sud-Papiers. Sa première pièce Die Siel van die Mier (L'âme des termites, 2004) est partie en tournée plusieurs années en Belgique et à l'étranger et a reçu le prix de Théâtre de l'Union de la langue néerlandaise en 2004 ainsi que le Prix quinquennal pour les arts de la scène décerné par l'Académie royale de langue et de littérature néerlandaises. N a été jouée au Toneelhuisen 2006 dans une mise en scène de Peter Krüger. Van Reybrouck a reçu le Arkprijs van het Vrije Woord, (le prix de l'Arche de la libre parole) le plus prestigieux prix flamand accordé chaque année à une personnalité ou organisation publique, un intellectuel, un artiste ou un écrivain. Poète,
Il contribue régulièrement à la revue littéraire Het Liegend Konijn. Il a fondé le Collectif bruxellois de poètes, une initiative plurilingue et multiculturelle (performances, vers classiques, slam et expérimentation). Fasciné par les arts visuels, Van Reybrouck a collaboré à des livres avec de grands photographes tels que Stephan Vanfleteren (Belgicum, 2007) et Carl De Keyzer (Congo (belge), 2009), ainsi que le peintre et sculpteur Koenraad Tinel (Scheisseimer, 2009).
Il a remporté fin 2010, coup sur coup, trois grands prix littéraires en Belgique

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